(Synthèse Cohérente d'Informations Utiles sur
le Raélisme et les Elohims)
Catalogue de technologie élohime
Tome 2 : Les élohims en 1975
Ceci est le second tome de
notre Catalogue. La technologie décrite ici est celle que Raël a vue ou dont on
lui a parlé en 1975, lors de sa seconde rencontre avec les Elohims.
Les informations contenues
dans ce tome sont issues de son deuxième ouvrage : «Les extraterrestres m’ont
emmené sur leur planète».
Une chose me semble bien
curieuse : les Elohims refusent de nous donner la moindre preuve de leur
existence à nous autres Terriens, puisque nous devons croire avant de les voir.
Cependant, ils ont déplacé Raël sur des années-lumière pour les lui montrer,
ces preuves. Un voyage interplanétaire pour voir des bidules fonctionner, alors
que nous, nous devons juste croire. C’est injuste, non ? A moins que ce
voyage n’ait eu une toute autre raison d’être...
Les règles de typographies
sont les mêmes que pour le premier tome :
Les commentaires en
italiques sont de l’auteur et tentent d’illustrer comment j'ai perçu ces
différentes descriptions d'objets.
Les textes en gras ou en
police normale sont fidèles aux textes de Raël ou, s'ils ne respectent pas mot
à mot le texte original, en respectent
le sens premier.
Mais trêve de bavardage,
voici le second tome de ce très utile catalogue :
Sur Terre et autour de la
Terre :
Engin énorme et silencieux, capable d’évoluer par à-coups
au-dessus des maisons à vitesses inimaginables et de s’arrêter instantanément
ainsi que d’avancer avec une trajectoire en dents de scie. S’observe à une
distance de 500 mètres environ. Utilisé pour impressionner l’épouse et un ami
(François) de Raël. Efficace dans ce cadre précis. Seul inconvénient : provoque
des marques bizarres et indolores aux coudes de certains observateurs du
phénomène (plus particulièrement sur Raël).
Aucun témoignage d'écho radar plausible à l'heure où nous mettons sous
presse. Désolé.
Lazer (sic) perfectionné pouvant servir à effectuer des prélèvements à
distance.
Peut-être l’outil, à bord du véhicule décrit ci-dessus, ayant provoqué la
marque bizarre au coude.
Enorme boule de feu, ressemblant à une étincelle (sic)
aparaissant derrière les buissons. Se trouve en fait être une soucoupe
identique à celle de sept mètres décrite dans le tome 1.
Une sorte de camouflage amusant, mais peu pratique dans le désert : il n'y a
pas de buissons.
Détails supplémentaires sur cette soucoupe
: elle provoque une sensation de froid intense au décollage. Mais que le
lecteur se rassure : cela ne dure que très peu de temps, heureusement.
On ne sait pas s'il fait vraiment froid ou si c'est juste une impression.
Dans le premier cas, ça permettrait d'avoir de la bière fraîche à chaque
décollage. Pas mal !
Véhicule spatial de forte taille, restant usuellement en orbite
autour des mondes visités, capable de se déplacer beaucoup plus vite que les 7c
indiqués en 1973 (tout évolue).
Est composé :
D’une « salle
d’arrivée » pour les petites soucoupes d’une quinzaine de mètres de diamètre
et autant de haut. Compte tenu de la taille de la soucoupe (7 mètres de
diamètre), il semble évident que seulement deux de ces soucoupes peuvent y
prendre place.
C'est donc pas si énorme que ça, tout compte fait.
D’une salle
attenante de quatre mètres de diamètre (elles sont toutes circulaires,
décidément !) où les invités se foutent à poil, littéralement. Chez
nous, on le fait avant de partir. Chez eux, c'est pendant le voyage : on gagne
du temps.
D’une autre
pièce « semblable à la précédente, mais faisant un peu penser à un couloir
» (mais comment une pièce cylindrique peut-elle faire penser, même un peu, à
un couloir ?) avec des éclairages de couleur différentes sous lesquels il
faut passer et des flèches peintes au sol qui amènent à la salle de bains.
D'une salle de
bains, donc, avec baignoire encastrée au sol (attention à la marche !)
équipée de toilettes et d’une tablette près de la paroi métallique. Une autre
tablette porte en général un pyjama blanc très soyeux et moulant. Les
invitées ne ressemblent que rarement à Maïté, celle de la télé, m’a-t-on dit.
D'une vaste
salle merveilleuse, construite sur plusieurs niveaux, d’une centaine de
mètres de diamètre (tiens, encore une pièce ronde). Recouverte par un
dôme transparent tellement propre qu’on ne voit pas que c’est un dôme au
premier coup d’oeil. Le plancher est recouvert de fourrures (c’est Brigitte
Bardot qui a dû apprécier !) et de tapis à longs poils très colorés. Il y a
partout des oeuvres d’art ou des plantes rouges, parfois bleues, hautes de
plusieurs mètres. Pas de plante verte toutefois, seulement des rouges et des
bleues. La musique d’ambiance ressemble à un orgue jouant de la scie musicale,
avec des choeurs. Le tout fait bouger les plantes en rythme. Un ruisseau coule
à travers tout ça. On ne sait pas si c’est de l’eau ou autre chose. J’espère
que le vaisseau n’est pas piloté depuis là, question psychédélique, c'est
réussi !
D’une salle
immense qui peut contenir une soucoupe pareille à celle qui a permis de
venir depuis la Terre, mais beaucoup plus grande. C'est les poupées russes,
ces histoires de soucoupes contenant des ouscoupes qui contiennent des
soucoupes.
Grande
soucoupe de douze mètres de diamètre, prenant place dans la salle dont nous
venons de parler. Elle possède quatre fauteuils au lieu de deux. Provoque la
même sensation de froid que la plus petite, mais pendant plus longtemps (10
minutes).
C'est peut-être parce que la soucoupe faisant de plus longs voyages, il y a
plus de bière à rafraîchir.
Féerique, paraît-il. J’ai mis ça à tout hasard dans ce catalogue, ça me
paraît trop bizarre pour être naturel. Notons que c'est un des premiers trucs
que Raël décrit de la planète. Peut-être un effet secondaire de la bière
élohime ?
Maisons qui ressemblent à des
coquillages.
Sans l’odeur toutefois.
Fauteuils de pierre recouverts de
fourrure restant fraîches même lors de fortes chaleurs.
A conseiller à tous, spécialement après une ablation des hémorroïdes.
Robots biologiques, fabriquées à 100%
scientifiquement, volontairement limités et soumis à la volonté des Elohims.
Utile pour toutes sortes de tâches allant de la lessive au service à table, en
passant par le remplacement avantageux de nos vieilles poupées gonflables en
latex (Raël s’en est tapé six d’un coup).
On ne précise toutefois pas s’ils peuvent être contaminés pas des bactéries,
virus et autres agents pathogènes. Toujours se renseigner sur le précédent
propriétaire avant de sodomiser (ou de se faire sodomiser par) son robot
biologique.
Machine à fabriquer les robots
biologiques.
Permet, en donnant plein de paramètres, d’obtenir le robot biologique qu’on
veut (heureusement !) : forme du corps et du visage (y compris d’après
photo), caractéristiques physiques et comportementales, bref, tout.
Composée entre autres d’une cuve de liquide bleu, translucide sur une face à
travers laquelle on voit tout se constituer : le squelette se forme d’abord,
puis les nerfs, ensuite les muscles et enfin le reste. Une trappe se trouve sur
le côté de cette cuve, par laquelle le robot biologique sort. Immédiatement
fonctionnel, il correspond toujours à ce qu’on voulait qu’il fût.
Plus gros qu’un camion, mais moins qu’une usine à poupées gonflables.
Nourriture pour robot biologique. Aussi chère et identique à de la
nourriture pour Elohim ou Terrien, suivant que le robot ressemble à l’un ou à
l’autre.
En plus, ils chient aussi. Vive l’électronique.
Photographie. Malgré les 25’000 ans d’avance sur nous, ce
procédé a été gardé identique, au moins pour pouvoir alimenter la machine à
fabriquer les robots biologiques.
Ça, c'est un des trucs les plus troublants. Raël utilise bien le terme de
"photographie", et pas quelque chose de plus flou ou une périphrase
qui dirait que "c'est comme une photo, mais en différent". Que les
Elohims utilisent toujours la photographie alors que nous-mêmes sommes en train
de l'abandonner pour le tout-numérique, ça me stupéfie. Evidemment, quand Raël
a écrit son bouquin, il ne pouvait imaginer l'imagerie numérique. Apparemment,
les Elohims non plus.
Bidule pour agir sur la météo. La preuve : chez eux il fait
toujours beau et pas trop chaud. Permet de faire pleuvoir où et quand on veut.
Attention toutefois aux querelles de voisinage qui peuvent en découler. Et
ça doit nuire à un tas d’espèces vivantes, en plus.
Ceinture de transport, déjà évoquée dans le tome 1. Est
très large et ornée d’une énorme boucle. Permet de se déplacer à 100 km/h à 20
mètres du sol au moins.
La largeur de la boucle et le fait que le bassin ne soit pas soutenu ne
laisse pas de m’inquiéter pour les Elohims, étant entendu que ce truc semble
bien être le moyen de transport le plus courant chez eux.
Robots biologiques encore, qu’on reconnaît grâce à
leur ornement frontal (une sorte de caillou incrusté).
Ceci peut sous-entendre qu’il y a un risque théorique de ne pas les
reconnaître sans leur ornement frontal. Existerait-il des petits malins,
là-bas, qui feraient des robots ressemblant en tous point à un Elohim, y
compris au niveau télépathique (les Elohims sont télépathes) ?
Machine à cloner. Est en fait la même machine que
celle à faire les robots. Un clone ne porte pas d’ornement frontal et est
absolument identique à son original, à tous points de vue. Pour le démontrer,
les élohims ont cloné Raël. Pendant la démonstration, on annonça au clone qu’on
allait le détruire, faisant ainsi de lui un être différent de Raël (puisque ce
dernier savait qu’il allait vivre). La destruction planifiée d’un être
humain unique et reconnu comme tel s’appelle chez nous un assassinat. On
peut d’ailleurs se demander si certaines modifications subtiles n’ont pas été
faites lors du clonage et si c’est bien Raël qui nous est revenu. Dans tous les
cas, on a une merveilleuse idée de leur non-violence.
Machine à recréer les êtres malfaisants pour les faire souffrir à l’échelle
de leur méchanceté passée.
Sadisme pur, compte tenu que les élohims affirment que l’âme n’existe pas.
Ce n’est donc pas le même être qu’ils font souffrir, mais bien une copie. Et
ils disent aimer leur création par-dessus tout ! Ben mon neuveu...
Maisons « coquilles St-Jacques » avec lit incrusté dans le sol d’une
taille de quatre lits terrestres.
Lumbagos et autres handicaps interdits.
Baignoire grande comme une piscine et incrustée au sol.
On se demande pourquoi ils font tout à ras du sol ou au-dessous. Faire
attention dans un tel appartement lorsqu’on a trop bu : les éléments
d’ameublement se transforment en pièges dangereux ou mortels.
Machine à fabriquer de la musique selon les désirs : on met un casque
sur la tête, on pense à la musique qu’on veut et hop.
Déconseillé à ceux qui n’ont pas d’imagination musicale ou aux incultes.
Bidule identique au précédent, mais pour faire des images.
Fonctionne très bien, il permet même d’afficher des roses à pois verts (sic),
c’est dire ! Interdit d’utilisation en cas de délire alcoolique ou de démence
par égard pour le voisinage.
Machine soi-disant à éveiller les
facultés en sommeil.
Gros bloc avec un fauteuil dedans. Permet aussi aux Elohims de modifier leur
invité de manière à ce qu’ils puissent voir par ses yeux, entendre par ses
oreilles et parler par sa bouche. En bref, c’est plutôt une machine à
asservir. Raël y est passé.
Ça, c'est un autre truc vachement important. Franchement,
est-on bien certain, toujours dans l'hypothèse de la véracité du récit,
que Raël est bien autre chose qu'un pantin télécommandé à la solde des Elohims ?
Ce Catalogue est donc connu des Elohims avant vous, Lecteur Assidu : ils me
voient le penser et le taper. Ils n’ont pas besoin de l’Internet, ils *sont*
l’Internet (entre autres). Mais ils n’en ont jamais parlé à Raël, alors qu’il
était déjà embryonnaire en 1975 (pas Raël, l’Internet).
Fin du second tome.
© Frank Muhletaler, 6/1999 -- 12/1999